Bruxelbourg Live hier et aujourd'hui.

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Je serais toujours surpris qu'on paie des architectes une fortune pour dessiner des bâtiments cubiques....
ça me fait automatiquement penser à ça en particulier à 2:30min :
https://www.youtube.com/watch?v=1yKay8HDjPU

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En plein dans le fief du Prince : la rue de l'Infirmerie

René Stevens coll. Jacqueline Dallons/FB

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A l'époque de cette photo, le Prince est en fabrication ou va montrer le bout de son nez :

source : Delcampe

(Boulevard Poincaré laan)

Numéros 78-fin : Saint-Gilles
Numéros 1-77 : Anderlecht

Origine du nom : de Raymond Poincaré (Bar-le-Duc, le 20 août 1860 - Paris, le 15 octobre 1934), président de la République française de 1913 à 1920. A Anderlecht, la voie porte ce nom depuis le 23 janvier 1923. La commune d'Anderlecht tint à l'honorer pour son attitude pendant la première guerre mondiale. Anciens noms : boulevard d'Anderlecht (1840) ; boulevard de France (1833). HT

Boulevard de la petite ceinture prolongeant l'av. de la Porte de Hal, suivant le tracé de la 2e enceinte. Son alignement est décidé en 1871, en même temps que celui du bd du Midi qui lui est parallèle, suivant un plan de Victor Besme. Le tracé du pan coupé qui le relie au bd Jamar, à l'ouest, est approuvé par l'AR du 27.12.1877. Anc. nommé bd d'Anderlecht, l'artère est rebaptisée après la Grande Guerre en l'honneur de l'homme d'État Raymond Poincaré (1860-1934), président de la République française de 1913 à 1920.

Seule une petite portion du boulevard se situe sur Saint-Gilles, comprise entre le bd Jamar et la Grande Écluse, qui contrôlait le débit de la Senne, jusqu'à son détournement du centre-ville en 1955 (voir r. de France). Le boulevard ne compte, sur Saint-Gilles, que deux maisons néoclassiques de 1870 (voir no 80-81-82) et un vaste immeuble conçu vers 1925, modifié en 1934, puis en 1970 et 1997 (voir no 78-79).

Numéros ne figurant pas en notice : 78-79 : vaste immeuble de bureaux, à l'emplacement de plusieurs maisons néoclassiques de 1870. Rachetées et remembrées par la bonneterie Patria, ces maisons font place, v. 1925, à une vaste fabrique conçue par l'arch. Jean Van Hall pour la même bonneterie. En 1934, celle-ci est transformée par l'arch. Henri Julien De Ridder, pour le compte de la Jeunesse ouvrière catholique, la « Centrale Jociste », en hôtel de jeunesse destiné à loger à bon marché des apprentis et ouvriers venus de province. Le bâtiment présentait alors une remarquable élévation de style moderniste teinté d'Art Déco, de dix travées et quatre niveaux sous toit plat. Il était scandé de pilastres colossaux et percé de vastes baies à châssis métalliques à petits-fers. Deux volumes d'un niveau surmontaient les travées latérales. De celui de dr. s'élevait une imposante statue d'ouvrier, jambes écartées et bras dressés. Le bâtiment est profondément transformé et rhabillé en 1970, puis en 1997 (arch. J. Crépain) ; 80-81-82 et bd Jamar 1 : anc. ensemble de trois maisons d'esprit néoclassique, 1876, deux maisons analogues flanquant une maison d'angle. En 1973, la maison à front du bd Poincaré et celle d'angle sont remembrées et transformées en hôtel. R.d.ch. actuel de 1989. HT
gros-plan en 2004 : http://www.irismonument.be/medias/stree ... 21_P01.JPG

La Jeunesse ouvrière chrétienne (JOC) est une association chrétienne de jeunes du milieu ouvrier. WIKIPEDIA

Quelques années plus tard :

capture d'écran - crédit photo : reflexcity

et comme nous sommes près de la gare du Midi :

5 francs belges à l'époque - crédit : Bernard Meurice/FB

[XTof_vl]

Je serais toujours surpris qu'on paie des architectes une fortune pour dessiner des bâtiments cubiques....
ça me fait automatiquement penser à ça en particulier à 2:30min :
https://www.youtube.com/watch?v=1yKay8HDjPU

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En plein dans le fief du Prince : la rue de l'Infirmerie

Bruxelles - rue de l'Infirmerie. photo René Stevens.jpg

Sans aucune intention de crime de lèse-majesté, le bâtiment au fond appartient à mon employeur!

[Rockandrail]

Et il y a deux très belles cours jardins à l'intérieur.

[Rockandrail]

Vue de la placette devant, rue du Grand Hospice. La maison au fond, au numéro 24, était à ma grand-mère.

et Rock et ses sœurs devant la maison en 1964, qu'on rigole.

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Vue de la placette devant, rue du Grand Hospice. La maison au fond, au numéro 24, était à ma grand-mère.

Grand Hospice Pachéco extérieur.jpg

et Rock et ses sœurs devant la maison en 1964, qu'on rigole.

Rock en 1964.JPG

Tu es l’aîné ?

[Le Basque]

Il est monté sur une caisse de Maredsous Triple !


Il a l'air espiègle le gars...

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Pour en revenir au gars évoqué plus haut, le jociste :

A sa place à l'époque :

source : Etienne Vercouter/FB

et maintenant à DWORP

source : Etienne Vercouter/FB

[eric-vh]

S'il est à Dworp, il est à l'étranger ...... comme Linkebeek.
Quant à l'immeuble du boulevard Poincaré transformé en grand bunker, c'est regrettable à dire, mais on s'en fout complètement. Ce quartier est, de toute façon, définitivement perdu pour la civilisation.

[eric-vh]

et Rock et ses sœurs devant la maison en 1964, qu'on rigole.

Rock en 1964.JPG

Aaah, j'en reconnais deux des soeurs.