Re: Bruxelbourg Live hier et aujourd'hui.
Posté: 18 Mai 2020, 14:25
Condoléances.
Rockandrail a écrit:Condoléances.
Le pays est habité par des tribus bédouines dont une opposition séculaire est bien connue entre les deux principales familles celle des Bab El Ehr (du patois bruxellois, babeleer, « bavard ») et celle des Ben Kalish Ezab (kalische zap, « jus de réglisse »)
Wikipedia
Reflexcity a écrit:Description : Cette rue suit les anciens Petits Vieux Remparts.
Commence au carrefour formé par la rue Léon Lepage, la rue de Flandre, et la rue du Marché aux Porcs.
Longue de 550m, elle coupe la rue Antoine Dansaert, la rue du Houblon, reçoit à sa gauche la rue du Boulet, coupe la rue Notre-Dame du Sommeil et aboutit rue des Fabriques.
Au XIIIe siècle, la prospérité de Bruxelles développe des quartiers d'habitation hors des murs de la première enceinte.
Vers 1238, les Dames-Blanches reçoivent l'autorisation d'installer leur couvent à l'angle formé par le fossé de la première enceinte et l'entrée de la rue de Flandre.
Au XVe siècle, il prend le nom de Couvent de Jéricho.
Afin de protéger le couvent ainsi que les habitations avoisinantes, un rempart est construit de la Senne de Ransfort (aujourd'hui approximativement la rue des Fabriques) jusqu'au chemin de Laeken (actuelle rue de Laeken, à hauteur de la rue du Cirque.)
Appelé cleyne vesten (= petits remparts) il perd toute utilité après la construction de la deuxième enceinte (1357-1379).
Au cours des siècles, les remparts seront dénommés : paepen vesten (= remparts des prêtres),
Chartroisen grecht (= fossé des Chartreux), Petits Vieux Remparts.
Au début du XVIIe siècle, le fossé est asséché. Le terrain divisé en lotissements est mis en vente.
En 1639, la rue est pavée.
En 1820, après la démolition de l'église du couvent des Chartreux, la partie comprise entre la rue Notre-Dame du Sommeil et la rue des Fabriques est percée.
A l'origine, elle s'appelait rue Saint-Bruno du nom du moine qui fixa les règles des Chartreux.
En 1898, la rue Rempart des Moines est amputée par le percement de la rue Antoine Dansaert et en 1912 par l'ouverture de la rue Léon Lepage.
De 1964 à 1966, le côté pair de la rue est démoli pour la construction des cinq bâtiments du Foyer bruxellois.
source : Reflexcity
Serge Bosquet a écrit:Bruxelles (centre) - PLACE DE LA BOURSE, vers 1941/1942... Une motrice standard circulant sur T.52 en direction de l'avenue Astrid arrive à l'arrêt "Bourse", suivie d'une standard sur T.4 venant de Boitsfort, sur le point de tourner dans la rue Henri Maus pour y rejoindre son terminus. Photo prise avant le 17/11/1942, date à laquelle la traction par caniveau fut remplacée par la traction aérienne sur les boulevards centraux (auteur inconnu).
C'est amusant, ce ramassis de personnages dans un hôtel Louis XV
Très joli, cet hôtel, d'ailleurs.
Malheureusement, le vert-de-gris ne va pas bien avec les boiseries.
(Grandgil (Jean Gabin) dans La traversée de Paris)
Rockandrail a écrit:L'entrée de la rue de la Cigogne montrée plus haut se trouve en arrière de la zone floutée sur cette dernière photo.