Une autre chose contre laquelle je m'élève et qui concerne de très nombreux amplis modernes, toutes classes et technologies confondues, c'est l'absence de correcteurs de tonalité.
Qu'il y ait une option "direct" qui les shunte pour qui n'en veut pas, OK. Qu'il n'y en ait pas du tout, au vu du coût négligeable de ce type de circuit (le bon vieux baxandall fonctionne toujours très bien) est pour moi un critère de non-choix d'un ampli.
En effet, suivant le volume et la morphologie de la pièce, les enceintes, le volume sonore et - comme le dit très justement Burlington - l'état des oreilles de l'auditeur, pouvoir ajuster les niveaux des graves et aigus est pour moi un critère essentiel d’audiophile. Critère que partagent de très nombreux amateurs de Hifi.
Le grands de l'audio japonaise y sont restés fidèles. Par contre, les constructeurs français, par ailleurs très performants et innovants dans ce domaine, le négligent systématiquement. Et se privent ainsi de ma clientèle.