Je ne sais pas, Joseph; mais ça ne fait pas vraiment envie pour la France.
D'ailleurs, ce type de gestion n'exclu pas, finalement, les retards ou la baisse de la qualité des services rendus ni les grèves (méchants cheminots du privé
):
https://www.latribune.fr/economie/union ... 28489.html(déjà mis en ligne il y a quelques mois).
Quoique, en bonne logique du Libéralisme à la Française (mutualisation des pertes et privatisation des profits sans risque), on peut imaginer que ce soit in-fine, le contribuable qui mette la main à la poche pour financer les grosses boites par subvention. Et l'histoire nous enseigne, comme pour les Partenariats Public-Privés, que la délégation de service public (ou "au public" si on veut (qui n'est pour moi que de la pinaille de langage)), n'est pas forcément synonyme d'économie pour l'état.