materiel Piko

[POMidi]

Personnellement j'ai des 67400 et 2 66000: la mécanique est très bonne. Peut-être un petit souci de captage sur les 66000 sur les lacunes de courant longues (solution = réalimenter les pointes de cœur).

Esthétiquement le 66000 est très correcte. Seul, gros, défaut, les vitrages dont l'épaisseur est ENORME.
La 67400 a une très bonne mécanique mais est plus simplifiée au niveau des phares et de la toiture (grilles des ventilateurs). Elle jure à coté d'une Lima alors que la 66000 passe pas mal à coté d'une Jouef. Par contre, très visiblement la 63000 est bâclée.

Comme toujours c'est une question d'arbitrage entre les différents avantages et inconvénients. Très clairement au prix auquel est bradé le Piko sur certains sites cela peut aider la décision !

Salutations amicales.

pIerre

[Le Basque]

C'est vrai que les vitrages de la 66600 Piko rappellent un peu les lunettes de Marcel Achard, enfin pour ceux d'entre nous qui s'en souviennent...

Pour la 64700, pour être franc sans doute influencé par d'autres je l'ai trouvé moyenne a sa sortie, notamment à cause du boîtier nem trop proéminent. Mais je ne l'avais qu'entre vue chez feu Locomotiv et sur les clichés dans la presse. Je l'ai prise très récemment, sans doute en raison du prix cassé pratiqué par le détaillant. Et là j'ai eu tout le temps de la tripoter et de la regarder sous toutes les coutures : elle supporte parfaitement la comparaison avec les Limarivajouef.

[Morvan]

[laurent r]

Avez vous remarquez que beaucoup de locos de marque Pi Ko avancent souvent par petite saccade. Quelqu'un connait il un moyen ou une astuce pour régler ce problème

j'ai eus le même problème avec une 66000
la solution retirer les 2 condensateurs et remplacer les 2 selfs par un fil
puis il faut régler la cv qui règle l'intensité de l'asservissement par le FCEM ( compensation de charge )
pour ZIMO CV 58
pour LENZ CV 50
avec ça j'ai réussis a obtenir un bon ralentit avec le décodeur ZIMO MX 63

A +

Laurent

[YanShe]

Il faut savoir qu'en matière de préparation à la numérisation, il existe plusieurs méthodes employées indiféremment par les fabricants. Dans tous les cas, il y a une petite plaquette à retirer pour mettre à la place la prise du décodeur, toute la différence se situe dans la fonction attribuée par le fabricant à cette plaquette :

- Soit il ne s'agit que d'un shunt entre les prises de courant vers les rails et le moteur de l'engin,

- Soit elle a en plus la fonction d'antiparasitage primaire (qui est obligatoire en Europe pour tout appareil électrique).

- soit elle a aussi une fonction de répartition des diffrents cablâges entre l'analogique et le numérique.


Dans les machines bas coût, c'est bien souvent le premier cas, l'antiparasitage est porté directement par le moteur,

Dans les autres cas, soit on trouve les composants d'antiparasitage directement sur la plaquette ce qui fait qu'on les ôte forcément en retirant celle-ci pour brancher un décodeur, soit elle "oriente" l'alimentation vers l'antiparasitage porté par le cicuit interne de l'engin quand elle est branchée et, implicitement, shunt ce circuit quand on branche un décodeur.
C'est dans ces 2 derniers cas qu'on obtient le meilleurs fonctionnement en numérique puisque le décodeur n'est pas perturbé par les composants (self et condensateur) constituant l'antiparasitage d'origine.
En numérique, l'antiparasitage du moteur est directement assuré par le décodeur et on peut, sans problème retirer celui d'origine.
Mais, tout n'est pas si simple car sur certains engins, les composants correspondants ne sont pas facilement identifiables, voire noyés dans le reste (résistances et diodes de protection de l'éclairage, par exemple).