Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar SAVAJOL
14 Mar 2018, 17:45

Mais, car il y a un "mais", où donc étaient ceux qui crient maintenant quand on touche à leur statut (fonctionnaires, agents RATP, SNCF ; EDF et gaziers qui vont suivre...), lors des précédentes réformes qui concernaient le privé (il y a 25 ans sous Baladur en particulier) ?
Est-ce que c'est l'adage" pour vivre heureux, vivons cachés" qui les a retenu ? Ils auraient bien dû se douter que leur tour viendrait et pas en bien, non ?


Alors ça, aucune idée ... je devais encore être en étude :mrgreen: ... ça correspond à 1995, non ?
Par contre, c'est vrai que l'on ne voit pas de mobilisations dans le secteur privé ... pas relayé dans les médias ? ... c'est pas Carrefour prévu pour le 31 mars ?
Après, déposer un préavis de grève conformément à l'article L2512-2 du code du travail et motivé par un désaccord sur un point évoqué en réunion préalable et qui ne concerne pas le ferroviaire, je ne sais pas si c'est juridiquement recevable ? En gros, appeler à la grève pour un motif autre que ce qui pourrait toucher aux conditions de travail propres aux potentiels grévistes ?

Sinon, il y a la grève générale impromptue et non cadrée (débordement de la voie Syndicale et Législative) ... ?
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar BURLINGTON
14 Mar 2018, 18:02

Oh, tu sais, j'ai connu l'époque où les organisations syndicales qui faisaient débrayer leurs adhérents (et les autres par voie de conséquence) pour un oui et pour un non. Je me rappelle une fois pour manifester contre Pinochet...
C'était un autre temps, il est vrai, mais c'est peut être une des raisons de leur discrédit actuels.
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar SAVAJOL
14 Mar 2018, 19:51

Oui, je pense que tu as raison. C'est aussi sans doute pour ça qu'est apparu le syndicalisme d'accompagnement et que le paysage s'est transformé. Mais là, tu évoques une période que je n'ai pas connue en tant que jeune padawan :mrgreen:
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar domi
15 Mar 2018, 00:25

BURLINGTON a écrit:Oh, tu sais, j'ai connu l'époque où les organisations syndicales qui faisaient débrayer leurs adhérents (et les autres par voie de conséquence) pour un oui et pour un non. Je me rappelle une fois pour manifester contre Pinochet...
C'était un autre temps, il est vrai, mais c'est peut être une des raisons de leur discrédit actuels.


Je souscris également à ce point de vue. ;)

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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar SAVAJOL
15 Mar 2018, 00:55

Le truc, c'est que cette période, je ne l'ai pas vécue professionnellement ... La bête s'est endormie à ce que je comprends ... Mais il n'y a pas un dicton qui dit: il ne faut pas réveiller la bête qui dort ? Un truc comme ça ?

Visiblement, la RATP entre en grève le 22 mars, Air France le 23 mars...
Je sais qu'à la SNCF, la coupe est pleine de chez pleine depuis 2008 et plus grand monde ne croit aux belles paroles; même les cadres; surtout que l'exécutif a déjà fait le coup de la reprise de la dette pour passer une énième réforme et sauver l'Euro de foot en 2014 ... On a vu le résultat.

J'ai sérieusement tendance à penser que cela nous éloigne de Pinochet, aujourd'hui.
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar domi
15 Mar 2018, 01:12

Si je comprends bien le problème de cette réforme annoncée de la SNCF, après avoir lu le rapport Spinetta, est qu'il n'est question que de "cost killing", et aucunement d'augmentation du chiffre d'affaire de l'entreprise par élargissement de la base de clientèle. On a le même problème dans les compagnies aériennes, et il est certain que ce n'est pas le meilleur moyen de motiver les troupes. Surtout si à côté on voit certains gugusses du COMEX se voter des augmentations substantielles de primes.

D'un autre côté, je n'ai pas souvenir d'avoir jamais vu les organisations syndicales de la SNCF protester à l'annonce de la fermeture de lignes, impliquant une baisse d'activité et donc d'effectifs futurs. Toujours le syndicalisme à la française, tourné vers les "insiders". :roll:

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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar SAVAJOL
15 Mar 2018, 01:35

Houla, non:
http://www.fo43.fr/2015/03/defense-de-l ... erale.html
En province, ils sont côte à côte avec les associations de défense des usagers depuis pas mal de temps.
:mrgreen: j'ai pris vite fait au hasard un exemple de chez Alain par pur hasard, hein :mrgreen: :arrow:

Tiens, puis pour continuer dans le thème de la pluralité des médias: privatisation distribution de la presse; encore un garde fou qui tombe :
https://blogs.mediapart.fr/schwartzenbe ... presstalis

Ça commence à faire beaucoup, non ?

La France est à vendre :mdr:
Bon, sur ce, bonne nuit :dodo:
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar cdz183
15 Mar 2018, 09:23

Concernant une possible grêve reconductible à la SNCF, je pense que le résultat en régions sera totalement contre-productif : en 1995, il n'y avait pas de cars Macron ni de co-voiturage organisé ni de smartphones et leurs applis. Une grêve dure sera la garantie de perdre définitivement les plus jeunes voyageurs (qui sont censés remplacer ultérieurement leurs aînés ...). Je le vois avec mes propres enfants étudiants...

La tendresse, voire la nostalgie, que les quinquas et + (comme moi :vieux: ) ont encore pour le train est totalement inexistante chez la génération Y (1980-1995). Ne parlons pas de la suivante ...
échelle zéro, région Nord, époque III (56-64) : brique et vapeur !
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar BURLINGTON
15 Mar 2018, 09:29

Le hasard fait bien les choses :siffle: :ange2: J'invite les lecteur à venir parcourir ces lignes (de chemin de fer) pour se rendre compte de la situation et surtout de leur intérêt économique. Aujourd'hui seule la dessert d'Arcelor Mittal de Saint Chély est pertinente...jusqu'au jour où l'usine fermera.
Mais là aussi ce n'est que de la défense. Et pas, comme le remarque Domi, la recherche d'une augmentation de chiffre d'affaire. Bien aléatoire dans la région, je le concède.
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Re: Bonnes et mauvaises nouvelles du rail français

Messagepar SAVAJOL
15 Mar 2018, 11:54

:mrgreen:
Ado, j'aimais bien me rendre en gare de Darsac pour faire des photos, prendre l'X2800 pour me balader dans la région, les correspondances étant encore pas trop mal faites (j'ai même réussi à faire un aller retour Langeac - Nîmes - Darsac sur une journée avec le cévenol (UM 67400, 10 caisses au crochet) et Autorails). Il y avait sur Darsac un agent circulation qui vendait les billets entre autres tâches. J'ai même connu la desserte bois sur Sembadel...

Vers la fin des années 1990, début 2000, j'étais en gare de Darsac en fin d'après-midi pour prendre en photo l'autorail relevant la correspondance du Cévenol à St georges d'Aurac. Cet autorail quittait le Puy vers 16h00 pour donner corres à St Georges sur la RGP Clermont-Nîmes, stationnait 1 heure à St georges d'Aurac et relevait la corres du Cévenol montant sur la Capitale, puis repartait sur le Puy ... mais la gare de Darsac avait été fermée depuis pas mal de temps: plus d'AC.
C'était en Autonme. Les lumières de quai de la gare de Darsac, par économie, étaient calées via une horloge sur le passage du train: 20 minutes avant et 10 minutes après son heure théorique de passage.
Ce jour, appareil photo en main, j'ai attendu l'autorail pour une petite photo de nuit. J'ai vu des voyageurs venir en gare et attendre ... jusqu'à ce que les lumières s'éteignent ... personnes pour les renseigner ... ils ont patientés sur le quai encore 20 minutes et ont finalement décidés de repartir en voiture avec leurs accompagnateurs (5 automobiles) ... j'ai attendu une petite heure pour faire ma photo de nuit en espérant que l'éclairage s'allumerait à nouveau à l'approche du train en imaginant un probable système d'annonce comme pour les PN et me disant que pour la sécurité des voyageur devant traverser les voies pour prendre leur train, ce n'était pas concevable de laisser une gare éteinte... jamais vu passer cet autorail. J'ai compris que ces clients ne reprendraient jamais le train si ils avaient le choix. L'AC a disparu avec l'abandon de la desserte bois de Sembadel.

Quelques décennies après, au vu de l'état d'abandon de ces lignes, des collectifs d'usagers de lignes se sont créés. Aujourd'hui, la FNAUT, les Elus et les Syndicats créent un collectif national de lutte pour la sauvegarde des petites lignes:

"""
http://abonnes.lemonde.fr/idees/article ... _3232.html

« Réserver le ferroviaire aux seules grandes villes ne ferait que créer de nouveaux territoires abandonnés de la République »

Un collectif d’associations d’usagers, de syndicats de cheminots et d’élus locaux appelle, dans une tribune au « Monde », le gouvernement à ne pas sacrifier les « petites » lignes sur l’autel de la réforme de la SNCF.

LE MONDE | 14.03.2018 à 14h00 | Par Collectif

Tribune. Il n’y a pas plus de « petites lignes » que de petits territoires. Les lignes ferroviaires de proximité, comme les autres, sont une réponse évidente aux besoins de mobilité et à la pollution grandissante. L’Etat, avec les collectivités, doit les entretenir et les redynamiser. Pourtant, le manque d’investissements dans la régénération du réseau ferroviaire menace aujourd’hui de fermeture environ 9 000 km de lignes, dites « petites ». Comment ce terme aussi méprisant a-­t-­il pu s’imposer ? La Creuse est-elle un « petit » territoire ? Un seul exemple : la gare de Veynes (Hautes-Alpes), cœur de l’étoile ferroviaire du même nom, voit circuler vingt-neuf trains par jour. Est-ce « petit » ? Et l’une de ses branches, la ligne Grenoble - ­Gap, compte un millier de voyageurs quotidiens.

AU TOTAL, CENT TRENTE ET UNE LIGNES SONT SUR LA SELLETTE

Mais la SNCF a l’art d’accuser son chien d’avoir la rage : dans sa communication habituelle, elle avançait un chiffre de moitié inférieur. Résultat, cette ligne est désormais menacée de fermeture à court terme. Au total, cent trente et une lignes sont sur la sellette. Si elles ne sont pas les plus fréquentées – personne ne le conteste –, ces lignes, le plus souvent rurales mais parfois urbaines, sont des lignes de proximité, tout simplement.

Le gouvernement est grand prince : « On ne décide pas de la fermeture de 9 000 km de lignes depuis Paris. » Même le rapport Spinetta ne le préconisait pas ; alors, pourquoi s’en défend-il ? Dans les faits, l’équation est simple. L’Etat assure que les engagements déjà pris, à hauteur de 1,5 milliard d’euros dans le cadre des contrats de plan Etat-­région (CPER), « seront tenus ». Mais comme la ministre des transports, Elisabeth Borne, l’a reconnu devant le Sénat, « il apparaît aujourd’hui clairement que cette somme ne sera pas suffisante ». Dès lors, il ne reste plus au gouvernement qu’à transmettre la patate chaude aux régions.

Le credo de la ministre

En octobre 2017, donc bien avant le rapport Spinetta, la ministre des transports était déjà très explicite à propos des lignes de proximité : « Il appartient aux collectivités territoriales et notamment aux régions (…) d’identifier les réponses les plus pertinentes. » En clair : bon débarras et à vous de jouer ! En outre, les actuels CPER se terminent en 2020 et les négociations pour les prochains ne vont plus tarder. L’Etat continuera­-t-­il d’investir dans les lignes de proximité, comme il l’a fait sous les derniers gouvernements, de gauche comme de droite ?

QUAND UN TRAIN EST REMPLACÉ PAR UN CAR, ENVIRON 30 % DES VOYAGEURS REPRENNENT LEUR VOITURE INDIVIDUELLE

Le credo de la ministre est de « maintenir une accessibilité dans ces territoires, quel qu’en soit le mode ». Mais, au bout du compte, c’est le car et le bitume pour toutes et tous qui se profilent. Tant pis pour les personnes âgées, handicapées ou ceux qui souhaitent transporter leur vélo ou travailler en route : impossible dans les cars. L’existence et la fréquence des trains sont aussi l’un des critères de choix de destination pour les touristes des grandes métropoles, qui choisissent de plus en plus de ne pas posséder de voiture. D’après plusieurs études concordantes, quand un train est remplacé par un car, environ 30 % des voyageurs reprennent leur voiture individuelle.

Les conséquences, chacun les connaît : la pollution, les accidents et leur cortège de morts, la dégradation accélérée du réseau routier (payé par l’ensemble des contribuables), le poids en constante progression du budget automobile dans le budget général des ménages ruraux. Au total, réserver le ferroviaire aux seules grandes villes ne ferait que créer de nouveaux territoires abandonnés de la République.

Patrimoine magnifique

Les lignes de train ne sont pas des lignes comptables. A­-t­-on jamais demandé à une route départementale d’être rentable ? Plutôt qu’un abandon fondé sur des calculs de rentabilité économique à court terme, nous avons besoin aujourd’hui d’une politique de rénovation et d’innovation pour redéployer un service public et répondre aux impératifs écologiques. L’Etat ne doit pas se contenter d’un engagement financier dans la rénovation du réseau principal, il doit participer à la régénération des lignes régionales ou interrégionales. Elles sont un patrimoine (souvent magnifique) qu’il nous appartient d’entretenir et de redynamiser pour les générations futures.

LA VOIE EMPRUNTÉE PAR LE GOUVERNEMENT NE PERMETTRA PAS DE RESTAURER UN SERVICE PUBLIC FERROVIAIRE DE QUALITÉ

Rappelons qu’en moyenne, un déplacement en train émet au moins dix fois moins de CO2 que le même trajet en voiture, et jusqu’à cinquante fois moins que l’avion. A l’heure du réchauffement climatique et des grands discours sur l’écologie, à l’heure où les besoins de mobilité sont énormes, il constitue une solution évidente. C’est pourquoi l’Etat, avec les collectivités concernées, doit rénover les lignes de proximité et favoriser le développement de l’offre et des services (intermodalité, transport des vélos) pour reconquérir les flux de voyageurs et de marchandises ; redévelopper les trains classiques de jour et de nuit, avec des liaisons transversales, régionales et internationales fiables et fréquentes, couvrant l’ensemble du territoire ; décider d’une véritable fiscalité écologique pour remettre les camions sur les rails et rendre le train attractif face à la route et l’avion.

Beaucoup d’entre nous seront présents à la manifestation du 22 mars. Tous, nous sommes persuadés que la voie empruntée par le gouvernement ne permettra pas de restaurer un service public ferroviaire de qualité. Nous appelons les voyageurs, les cheminots, les collectivités, les élus, les associations et toutes les personnes attachées au train à constituer un collectif pour obtenir la redynamisation des lignes de proximité, qui sont, pour nous, des lignes de vie.

Les signataires de la tribune :

Collectifs de défense des lignes de proximité (Alternatiba Paris, Amis du rail azuréen, Association d’usagers de la ligne Perpignan-Cerbère-Portbou, Collectif de défense et de modernisation de la ligne ferroviaire Alès-Bessèges, Association de promotion de la ligne Morlaix-Roscoff, Association de promotion de la ligne Nantes-La Rochelle-Bordeaux, Association des élus pour la défense de la ligne des Cévennes, Association des usagers des TER dans le Gard et les départements limitrophes, Association des usagers des transports - Aisne Nord, Association des voyageurs du TER Metz-Luxembourg, Association pour la défense de la gare d’Assier, et pour la promotion du rail 
Association TER Brest-Quimper, Collectif citoyen de défense de la gare de Villefort, Collectif de coordination pour la défense de la ligne SNCF Agen-Périgueux-Paris, Collectif de défense des axes sud Normandie, Collectif de l’étoile ferroviaire de Veynes, Collectif des usagers des transports du Haut-Allier, Collectif des usagers des transports ferroviaires du sud du Massif central, Collectif des usagers des transports publics en Sud-Ardèche, Collectif non LGV Poitiers-Limoges Oui au POLT (Paris-Orléans-Limoges-Toulouse), Collectif Oui au train de nuit, Collectif pour la réouverture de la rive droite du Rhône aux trains de voyageurs, Collectif train lozérien, Collectif Tuck (Toulouse), Comité de défense et de développement du rail du Bassin montluçonnais et du Val de Cher, Comité de sauvegarde et de développement des lignes ferroviaires du Tréport - Mers, Périgord Rail Plus, Rallumons l’étoile (Toulouse), Tarsly-Fnaut promotion rail, Tous ensemble pour les gares, Usagers du TER Metz-Luxembourg),

Syndicats de cheminots (CFDT Cheminots, CGT des cheminots - secteur Alpes, Fédération des syndicats Sud rail) et élus locaux (Julien Bayou, conseiller régional d’Île-de-France, Esther Benbassa, sénatrice de Paris, Vanik Berberian, président de l’Association des maires ruraux de France, Christophe Bouillon, député de Seine Maritime, Guy Bricout, député du Nord, David Cormand, secrétaire national d’EELV, Jérôme Fauconnier, président de la Communauté de communes du Trièves (Isère), Joël Giraud, député des Hautes-Alpes, Guillaume Gontard, sénateur de l’Isère, Joël Labbé, sénateur du Morbihan, Guy Malaval, maire de Langogne, Patrick Malavieille, conseiller départemental du Gard, Yann Mongaburu, président du syndicat mixte des transports en commun de l’agglomération grenobloise, Pierre Morel À-L’Huissier, député de la Lozère, Corinne Morel-Darleux, conseillère régionale Auvergne-Rhône-Alpes, Patricia Morhet-Richaud, sénatrice des Hautes-Alpes, Marie-Laure Mugnier, conseillère départementale de Haute-Loire, Nathalie Perrin-Gilbert, maire du 1er arrondissement de Lyon, Alice Prud’homme, conseillère municipale de l’Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes), Frédérique Puissat, sénatrice de l’Isère, Sandra Regol, secrétaire nationale adjointe d’EELV, Marie-Thérèse Roubaud, maire de Langeac (Haute-Loire), Rémi Roux, conseiller municipal de l’Argentière-la-Bessée (Hautes-Alpes), Martial Saddier, député de Haute-Savoie, Bénédicte Taurine, députée de l’Ariège, Benjamin Trocmé, conseiller départemental de l’Isère).
""""
Je pense pouvoir, en partie répondre à Domi qui se posait la question de l'activité des Syndicats vis à vis des Usagers.
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