BURLINGTON a écrit:Ceci dit l'article ne fait que du "people".
Bon, il parait que c'est ce qui intéresse le vulgus populus
Rien sur son parcours et ses actions professionnelles.
C’est vrai Alain, mais quand on parcourt d’autres coupures de presse il n’y a rien qui chez ce personnage évoque de près ou de loin de quelconques compétences en matière de transport ferroviaire. Même son profil Linkedin en est totalement dépourvu. Il semble évident que son poste actuel est le résultat d’une cooptation entre gens d’une même caste. La question se pose de savoir si une entreprise comme la SNCF a besoin de communicants, ou d’opérationnels et de commerciaux qui vont aller chercher les clients à la petite cuiller. Le rapport Spinetta de ce printemps dernier a déjà sans doute permis de répondre à cette question...
En tous cas avec ce genre de profil, celui d’un Nième énarque/haut fonctionnaire de plus qui truste les bonnes places dans les entreprises publiques avant de retourner dans un cabinet ministériel, aucun doute que le client de base comme moi ou comme les chargeurs ‘less than one carload’ vont avoir envie de passer de la route au rail...
Surtout si on nous met du rap en ambiance sonore dans ce qui reste de trains...
Domi
"La termitière future m'épouvante. Et je hais leur vertu de robots."