blackleroc a écrit:Merci de vos précisions concernant les possibilités de la 220p4 et le choix de machines possibles.
J'ai comme machines à dispo :
131 TB GUDZOLD
230 F tender TRIX
050 TB FLEISHMANN
150 X TRIX
232.U.1 JOUEF
230 E 972 PIKO
040 tender G 302 PIKO-HOBBY
141 P 282 JOUEF
140 C verdun JOUEF
131 TB HORNBY ACHO
131 TB HORNBY ACHO
231 G Nevers REE
030 TU REE
141 R 1237 JOUEF
231 Chapellon ROCO
141 TA MODELBEX
231 K 8 Préservée REE
232 TC FLEISCHMANN
140 C LILIPUT
010T EST MODELS
Vapeur ALLEMANDE
020 Anna FLEISHMANN
040 FLEISHMANN
231 (S3/6) bleue TRIX (destiné à ma rame Rheingold )
Vapeur étrangère
150 condensation (SNCB) TRIX
231 Harry Potter TRIX
030 Anglaise GWR AIRFIX
220 KPEV P4 ROCO
Autorail vapeur
Kittel TRIX
VAP 020 KPEV ROCO
et le blème c'est que les finances vont être mises à mal avec les machines que je souhaite acquérir
en autre
050B ROCO (en cours)
241 P JOUEF
150 C JOUEF
141 TA JOUEF
141 REE
150 P REE
il va falloir envisager une traction avec une machine du parc actuel
Robert
Je vois que tu veux mettre une S3/6 bleue devant le Rheingold. Cela n'a pas existé. Les premières machines lors de la mise en service du Rheingold le 15 mai 1928 portaient encore la livrée verte "Bayern" avec déjà des roues rouges. Elles l'ont conservée pour certaines jusqu'en 1931.
La S3/6 bleue est elle que l'on attribue à la traction du train royal de Bavière avant 1914. Cela n'a probablement été qu'une livrée de présentation que la machine n'a jamais porté en service régulier. Et de toute façon pas après 1914.
Si cela peut aider:
Le Rheingold de l’époque II
Le Rheingold entre en service pour la première fois le 15 mai 1928. Les trains sont numérotés FFD 101/102. Ils roulent de Bâle SBB à Hoek van Holland via Fribourg en Brisgau, Baden-Oos, Karlsruhe, Mannheim, Mayence, Cologne, Dusseldorf et Duisbourg. Au passage à Utrecht, une correspondance est établie pour Amsterdam. De même, à Bâle, il y a correspondance pour Genève, Lucerne et Zurich.
La raison du terminus de Hoek van Holland tient au fait que ce port abrite le terminal transmanche pour Londres.
Du 1er juillet au 10 septembre 1928, le trajet direct est prolongé de Bâle à Lucerne. Mais l’expérience n’est pas poursuivie.
Suite à la mise en service du Rheingold, les trains express F163/164 qui parcouraient déjà la ligne sont convertis en service à trois classes.
Le Rheingold est initialement tracté par des locomotives à vapeur de série 3800 des NS entre Hoek van Holland et la frontière allemande. Le relai est pris pas des BR 184-5 des sous-séries d,e et plus tard k entre Arnhem et Mannheim. De Mannheim à Bâle, le relai est pris par les badoises IVh, DRG 183. En Suisse enfin, la traction est assurée par les locomotives électriques Ae 4/7.
C’est à partir de 1929 que l’offre en deuxième classe a été renforcée par l’ajout de paires de voitures détachées à Bâle et continuant le trajet jusqu’à Lucerne et Zurich.
Jusqu’en 1934, entre Mannheim et Bâle, le placement d’une voiture fourgon était obligatoire entre la locomotive et le train. Cela imposa de composer des rames à deux fourgons. Afin de compléter les trois fourgons Rheingold spécialement construits et insuffisants pour ce service, les deux fourgons badois Pw4ü Bad 06 Karlsruhe numéro 90035 et 90051 (renumérotés 107596 et 107982 en 1930), les fourgons prussiens Pw4ü Pr 16 Karlsruhe 90062 et 90063 (renumérotés 107976 et 107986 en 1930) sont intégrés au Rheingold et reçoivent une livrée violette et crème identique à celle des autres voitures.
La période 1928 – 1935
Dès 1930, les locomotives BR 01 du dépôt d’Offenburg (01 077 à 01 181) sont mises à l’essai sur le tronçon Mannheim-Bâle. Aux Pays-Bas, le locomotives NS 3900 prennent le relai des 3800.
En 1932, en raison de la baisse du trafic due à la crise économique, la poursuite du trajet des voitures Rheingold jusqu’à Lucerne et Zurich est suspendue. Les trains sont allégés des voitures correspondantes et gagnent en vitesse. Le trajet entre Hoek van Holland et Bâle gagne 30 minutes.
Le transfert vers Lucerne et Zurich sera rétabli en 1933. Un arrêt supplémentaire à Emmerich sera marqué par le FFD 102.
1934 voit une modification significative de la composition des trains : des voitures SB4ü-28 (deuxième classe sans cuisine) sont transformées en voitures mixtes SAB4ü 28/34 (première et deuxième classe avec petite cuisine). Ces voitures seront présentes dans la composition de presque tous les trains Rheingold en 1935. Dans le même temps, les trains rouleront souvent sans voiture de deuxième classe /cuisine ni voiture de première classe sans cuisine.
Dès 1933, le dépôt d’Offenburg est doté de BR 01 supplémentaires, entrainant le déplacement des BR 183 vers Coblence, Brême et Altona. Le service entra Mannheim et Bâle ne sera dès lors plus assuré que par des BR 01.
La période 1935 - 1939
Dès 1935, le train FFD 101 marque également l’arrêt à Emmerich.
En 1936, le Rheingold perd sa qualification de “train spécial” et les trains sont renumérotés en express classiques F 101/102. Ils conservent cependant leur désignation de « trains salons ».
En 1937, les BR 01 102 à 198 sont affectées au dépôt de Cologne Deutzerfeld et prennent massivement le relai des BR 184-5 sur le tronçon Mannheim – Arnhem. Les BR 01 assureront seules l’ensemble de la ligne dès 1938. Dans le même temps, les SBB décident à nouveau d’arrêter le convoyage des voitures Rheingold jusqu’à Lucerne et Zurich. Le service se limite à nouveau à Bâle. La raison n’était cependant pas politique mais technique.
Le plan de circulation de l’été 1939 prévoyait une liaison Hoek van Holland – Milan via le Gothard
Le déclenchement de la deuxième guerre mondiale a entrainé la suppression de tous les trains transfrontaliers et de tous les trains de luxe. Le Rheingold étant les deux, sa suspension « temporaire » était décidée.