C'est vrai qu'il va falloir également s'occuper de l'intérieur de la cabine car c'est bien visible.
Quelques décalcomanies sur les divers jaugeurs et manomètres simplement peint en blanc sera déjà un plus, compte tenu de leur position verticale.
Bigoudi a écrit:Si ma démarche recueille des avais favorables, on peut se mettre à penser aussi à des wagons
couverts G4, des citernes pétrole OCEM 29...le tout étant d'avoir le nombre suffisant de demandes...
Bonne soirée...
PS André ne me brise pas le moral hein....laisse moi réver...
Bigoudi a écrit:Edit: ça ne devrait pas être "Les Aubrais" le nom du dépôt ?
Juanfran3 a écrit:* Si on roule en digital, préférer la première cuvée à moins de vouloir se prendre la tête lors du démontage de la caisse dont on ne sait toujours pas (malgré plusieurs tentatives de certains) si et comment les rembardes sont fixées à la cabine
jc73 a écrit:Bigoudi a écrit:Edit: ça ne devrait pas être "Les Aubrais" le nom du dépôt ?
C'est justement la question qui je me pose, avis aux spécialistes ...
(...)
Juanfran3 a écrit:Bon, pour résumer grosso modo (jusqu'ici, on fera évoluer en cours de route):
* A quelques détails de finition près, l'aspect extérieur des machines des deux séries est identique (et l'intérieur de la cabine est toujours jaune)
Dans les deux cas, l'aspect de ces machines est vraiment très satisfaisant. Peut être la teinte des secondes est-elle plus exacte ou plutôt la répartition des teintes?
* Si on roule en digital, préférer la première cuvée à moins de vouloir se prendre la tête lors du démontage de la caisse dont on ne sait toujours pas (malgré plusieurs tentatives de certains) si et comment les rembardes sont fixées à la cabine
Pour les rambardes, c'est la machine la plus compliquée à démonter... sans casse. Sur une 63500, les rambardes sont enfichées sur les côtés de cabine; ici, c'est soit dans l'axe, soit sur les côtés et le tout en quinconce. Après aucune des deux digitalisations n'est satisfaisante. Sur la première série c'était du V 3.5 XL maintenant obsolète et un HP dérisoire (0,5 watts sans résonateur). par contre c'était un accès par le dessous évitant aux moins téméraires d'ouvrir la bête. Sur la seconde mouture, il faut ouvrir la machine; pas le choix. Et l'empilement des modules électroniques comme celui des lests ne laisse que peu de place à un HP qui, s'il est meilleur que celui de l'époque, n'en vaut pas et de loin le Visaton de 32 mm
* Eviter le passage de l'engin sur les TJD pour limiter tout grillage d'ampoules synonyme de grosse prise de tête
Là c'est un cas d'espèce qui est sans rapport avec ces nouvelles machines
* Le nouvel haut parleur n'est peut être pas à la hauteur des attentes.
C'est clair; si les lests déjà avaient été positionnés comme dans la première série et le visaton de 32 mis à la place du bloc de lest central (480 grammes) comme je l'ai expliqué dans un tuto, c'était je pense la meilleure solution pour un son de la meilleure qualité possible
Maintenant ne boudons pas notre plaisir; Henri Rodde tire sa révérence, sinon avec un coup de maître à cause de cette digitalisation à mon sens loupée, du moins en proposant un très beau modèle qui a vraiment une belle gueule. Les vitrinistes et les analogistes pourront tout au plus regretter les fameux fils des ampoules un peu voyants et une cabine toute jaune. C'est quand même peu en regard de tous les autres bons points. Et bravo à Léo dont le plan de décoration est extra !
un quelconque oubli important dans cette synthèse ?
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