Comme l'on précisé nos deux amis : (et pour compléter)
D'abord le canton en DCC élaboré (1) est alimenté par un module électronique qui rétro signalise une consommation de courant et transmet cette information à la centrale et au logiciel (si c'est le système d'exploitation choisit).
Mais effectivement sans le logiciel on ne sait pas quel train est dans le canton voir même un wagon ou une voiture équipée de feux de fin de convoi et consommant du courant (le cas d'un train à cheval sur 2 cantons).
Le Railcom ? En quelques mots, il permet aux décodeurs d’être « bidirectionnels ». Un décodeur (non Railcom) ne peut pas répondre à la centrale.
Concrètement, cela permet deux choses: La programmation (POM) sur une voie de programmation et sur la voie principale.
Les décodeurs (non Railcom) permettent la POM, mais c’est une programmation « aveugle », les locomotives ne peuvent pas confirmer directement un changement de CV à la centrale (sauf d'aller soi même lister les CVs).
Avec le Railcom, on obtient une confirmation d’un changement de CV, mais ceci dit avec une centrale élaborée on peut lire les valeurs actuelles des CVs de n'importe quel décodeur.
Personnellement
j’utilise peu cette fonction et je l'ai même déconnectée sur mon ECoS V.2, car le Railcom activé m'affectait des adresses automatiquement à partir de 1000 et ainsi de suite et moi j'aime bien les choisir moi même en fonction de mes habitudes qui sont les 4 derniers chiffres du matricule loco.
Et je n'en voyais pas d'autres avantage ? J'attends des avancées sur ce sujet pour m'y intéresser.
(1) DCC : signifie « Digital Command Control , élaboré c'est qu'au lieu de commander ces trains avec seulement 2 fils on découpe le réseau en cantons avec des modules de rétro-signalisation et aussi éventuellement un logiciel voir mon sujet ou blog.
Pour imager : schéma issu du site DigitrainWorld.com
https://www.locgeek.com/fr/2014/10/changement-en-vue/