Impressions aériennes

On y retrouve les amis, on y parle de tout et de rien. Rien n'y est hors-sujet mais le respect et la politesse y sont obligatoires.

Impressions aériennes

Messagepar EC64
21 Mar 2014, 15:27

Pour se rendre au Nouveau Monde, il faut reconnaitre que l'avion est le moyen le plus pratique.
Il semble toujours possible de traverser l'Atlantique en bateau, mais il faut trouver un cargo qui prend des passagers...
En train, on peut faire Paris-Moscou, puis Moscou-Vladivostok, on doit pouvoir traverser le détroit de Bering, ensuite prendre le transcontinental canadien, mais c'est bien long et probablement assez cher.

Donc ce sera direction Roissy pour un vol direct pour Montréal, et l'occasion de découvrir ce moyen de transport inédit pour nous.

Au préalable, nous prospectons sur internet pour avoir une idée des horaires et des tarifs pratiqués. Une surprise, des vols avec escale à Zürich, Francfort, Bruxelles ou... moins cher que des vols directs mais bien plus long.
Les vols low cost, très peu pour nous, pas plus qu'une transaction par internet, au moins pour une première fois. Nous nous rendons donc dans une agence AF pour l'achat des billets et avoir les explications et renseignements utiles à ce voyage.

Sur les conseils de l'hôtesse de l'agence AF, 30 heures avant le vol, nous nous connectons au site AF pour le choix définitif de nos places et finaliser l'édition des cartes d'embarquement que nous imprimons aussitôt.

Le jour J, nous quittons notre domicile environ 3 heures avant l'heure prévue du décollage. Quelques stations de métro, puis un RER direct pour Roissy (ça existe !).

30 minutes plus tard nous sommes sur place, le vol est bien sur le tableau des départs

L'aérogare n°2 est immense, nous nous rendons au point 13 indiqué sur le tableau, mais c'est pour l'enregistrement des bagages à mettre en soute. Pas de bagages pour la soute, on nous dit de nous rendre directement à l'embarquement.
Grande file d'attente pour le contrôle de la police des frontières, mais en 10 minutes, la formalité est passée sans encombre. Maintenant, le contrôle de sécurité, prévenu des règles et restrictions diverses, pas de problème en ce qui nous concerne. Les formalités sont terminées 45 mn après notre arrivée à Roissy, il reste environ 1h30 avant le décollage.
Pour se rendre à la porte de départ, nous devons emprunter le VAL qui relie les trois pôles (K, L et M) de l'aérogare n°2.

15 minutes plus tard, nous traversons la zone Duty Free, passage obligé par le temple de la consommation de luxe, ou bien que détaxé, tout est cher !!

Arrivée à la porte d'embarquement, notre avion est en cours de préparation.

Le tableau précise les dernières modalités

A l'heure indiquée, nous nous dirigeons vers le comptoir d'embarquement, vérification de l'identité et de la carte d'embarquement, nous nous engageons dans la passerelle d'accès à l'avion !

Conclusion de cette première partie : Aucune difficulté, bien que l'aérogare soit immense, s'y déplacer est aisé et les indications sont claires, nous n'avons demandé qu'une fois un renseignement.

A suivre...
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EC64
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Re: Impressions aériennes

Messagepar EC64
21 Mar 2014, 17:52

2ème partie, le vol :

Au bout de la passerelle, les hôtesses nous dirigent vers nos places. Pour nous vers la queue de l'appareil.
Première impression, quelle pagaille, on met un certain temps pour gagner nos places, par chance, les cases à bagages au dessus de nos places sont encore libres, ce qui n'est pas le cas pour tous !!

On s'installe dans l'espace étriqué de nos places et on observe....

L'embarquement ayant pris plus de temps que prévu, le commandant de bord indique nous avons un quart d'heure de retard et que nous arriverons à destination avec ce quart d'heure de retard (donc pas de possibilité de rattrapage ?)

On roule vers la piste d'envol et attendons notre tour. Prêt au départ, et c'est parti. Accélération impressionnante, le décollage est imperceptible !
Un coup d’œil par la fenêtre ou l'on aperçoit l'ombre de notre avion

Les écrans devant le siège, outre des films, jeux et autres trucs, diffuse des indications techniques et géographiques sur le vol

Une surprise de néophite, la vitesse au décollage, de l'ordre de 320 km/h (un TGV), je m'attendais à bien plus !
Au cours du vol, la vitesse variera entre 877 km/h (maxi observé) et environ 750 km/h. L'altitude restera autours des 10000 mètres.

Temps superbe, mais on volera tout le temps au dessus d'une mer de nuage, on ne verra pas le sol...
Champagne de bien venue avant un repas chaud tout à fait correct (comparé à Thalys, Lyria et TGV EST)

Puis une collation avant d'arriver

Premières visions du Nouveau Monde sous la neige

puis de Montréal lors de la descente pour l’atterrissage.
Celui-ci est bien plus impressionnant que le décollage, avec les virages pour prendre l'axe de la piste et on semble perdre de l'altitude par sauts successifs, puis le puissant coup de frein dès qu'on touche le sol....

Nous avons retrouvé le planché des vaches, et gagnons notre point de débarquement

Si l'embarquement m'a paru un peu pagaille, le débarquement n'est pas en reste, il faut du temps et de la patience.
J'ai été impressionné par l'état "dégueulasse" dans lequel les passagers laissent la cabine (sol jonché de détritus, couvertures et oreillers par terre !!!). Je ferai hélas le même constat au retour... c'est triste.

A suivre, le retour
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Re: Impressions aériennes

Messagepar domi
21 Mar 2014, 21:11

Ah, les joies du transport aérien vu du côté passager.... :siffle:

Donc si je comprends bien c'était ton baptême de l'air? Ne manque plus qu'un vol en petit avion ("that's real flying", comme disait un pilote d'hydravion DHC2 Beaver que j'avais connu il y a quelques années :D ) et la boucle sera bouclée. :)

Quelques précisions en passant:

-Je crois savoir qu'à peu près toutes les compagnies de navigation du monde proposent une poignée de cabines sur leurs flottes de cargos. Un cousin de mon épouse, séduit par le côté bucolique du concept, le pratique régulièrement. Mais bien sûr c'est beaucoup plus coûteux que l'avion, même en classe business, sans compter la perte de temps que ça implique quand les vacances sont courtes.

-Aller en train de Paris au Nouveau-Monde. En effet de Vladivostok à Vancouver, il y a une sacré distance non encore couverte par le rail. Il y a bien un projet de tunnel sous-marin qui traverserait le détroit de Béring (http://fr.wikipedia.org/wiki/Tunnel_sou ... %C3%A9ring) mais je n'y crois pas trop pour même le long terme, ne serait-ce qu'à cause des différences d'écartement et d'attelage entre les systèmes ferroviaires russe et américain. Sans parler des milliers de km de nouvelles voies qu'il faudra construire de part et d'autre et maintenir opérationnelles par des conditions météo extrêmes... :roll:

Concernant le transport aérien proprement dit:

-L'embarquement et le débarquement: plus l'avion est gros, plus c'est long en effet. Tant que les aéroports ne seront pas prévus pour que ceux-ci puissent se faire également par l'arrière de l'appareil.. :roll: Si je devais compter tout le retard que j'ai pu accumuler dans ma carrière à cause d'embarquements trop longs... :roll:

-En effet les vitesses liées au décollage et à l'atterrissage sont relativement faibles, c'est le seul moyen de rendre ces manoeuvres compatibles avec des pistes qui ne soient pas déraisonnablement longues (donc coûteuses). C'est le seul moyen pour que les trains d'atterrissage, organes sensibles, ne soient pas trop sollicités (se souvenir du Concorde, qui décollait à des vitesses nettement plus élevées, de l'ordre de 220 noeuds soit plus de 400 km/h, dont les pneus avaient une fâcheuse tendance à l'éclatement - c'est ce qui avait in fine causé le crash de Gonesse en juillet 2000). Donc le bilan des dispositifs hypersustentateurs permettant de baisser notablement les vitesses de décollage et d'approche est largement favorable à ces derniers, malgré l'augmentation de poids et de coûts induits qu'ils occasionnent.

-La vitesse donnée sur les écrans en cabine est toujours une vitesse/sol: c'est à dire la vitesse propre de l'avion corrigée du vent, qui peut être de face, de travers ou arrière.

-Rattraper un retard subi en dernière minute? Difficile compte-tenu de la surconsommation de carburant que ça induirait. Quand les pleins sont terminés il est toujours laborieux de rappeler le camion citerne, et de redemander aux Opérations un nouveau plan de vol modifié. En revanche, quand on sait longtemps à l'avance qu'il y aura un retard à rattraper, on sait que l'on peut prévoir à l'avance de voler plus vite, au coût d'une importante surconsommation. Par exemple, mon outil actuel, l'Airbus A330, très proche techniquement de l'A340 que tu as eu sur ton vol, est optimisé pour voler à 81% de la vitesse du son. L'an dernier, justement pour aller à Montréal, nous avons eu une panne avant le départ qui nous a collé un retard de deux heures. Pour limiter la casse vis à vis des clients, nous avons fait préparer un plan de vol à 84% de la vitesse du son qui nous a permis de gagner 15 minutes sur l'ensemble du vol, au prix de 5 ou 6 tonnes de consommation supplémentaire (d'autant plus que nous avions choisi de voler à une altitude plus faible que la normale, pour augmenter encore la vitesse).

-Les pertes d'altitude successives à l'approche: souvent le cas en Amérique du Nord. Le cheminement à l'approche se fait de point caractéristique en point caractéristique, chacun associé à une altitude minimum décroissante au fur et à mesure que l'on se rapproche du point d'approche finale, d'où la sensation de descente en escalier.

-Les cabines à l'issue d'un vol... :o L'éducation étant une caractéristique humaine de plus en plus considérée comme réactionnaire, désuète et vieux jeu, il ne faut pas trop en demander à nos concitoyens.. :roll:

Voilà cher ami, n'joy ton séjour. :cool:

Moi je suis content, je suis prévu sur notre premier vol Orly-Montréal de la saison le 13 avril prochain et j'y reste 4 jours! Au programme: Canadien Pacific, Canadien National, Quebec et Gatineau Railway, et CF Roberval - Saguenay si je suis assez efficace. :cool: Ca devrait me faire pas mal de photos en plus... :)

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Modifié en dernier par domi le 22 Mar 2014, 10:37, modifié 1 fois.
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Re: Impressions aériennes

Messagepar EC64
21 Mar 2014, 22:01

Merci Domi pour ces précisions et réponses à mes observations.
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Re: Impressions aériennes

Messagepar Rapide 424
21 Mar 2014, 22:41

J'ai du faire à peu près 70 à 80 vols transatlantiques dans ma vie (sans compter tous les autres), les premières sur Boeing 707, et je m'émerveille à chaque fois autant de la prouesse technologique qui consiste à faire décoller et atterrir à 300 km/h des centaines de tonnes de ferrailles diverses, de plastique et de bidoche. Et penser que ce miracle arrive plusieurs milliers de fois par jour à travers le monde ... On a beau s'y habituer, c'est toujours l'aventure. A l'atterrissage, j'ai toujours les mains moites, quand on rase les toits et qu'on se ballade et tangue pas toujours très en alignement avec la piste. Il doit y avoir une sacré tolérance dans la résistance des matériaux quand-même :)
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Re: Impressions aériennes

Messagepar bnicolas1987
21 Mar 2014, 23:56

Ahhh La descente sur Montréal, ou je reviendrai dans un grand Boeing bleu de mer.....

Je dois dire que lorsque mes parents nous avaient pris avec eux au Canada c'était vraiment génial, je voudrai bien y retourner.

Sinon, c'est drôle, mais je ne me souviens pas avoir trouvé l'avion tant dégueulasse que ça il y a quelques années sur Genève - New York et retour.

Profites bien du Canada en tout cas.

A bientôt.

Nicolas
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Re: Impressions aériennes

Messagepar domi
22 Mar 2014, 10:35

Rapide 424 a écrit:Je m'émerveille à chaque fois autant de la prouesse technologique qui consiste à faire décoller et atterrir à 300 km/h des centaines de tonnes de ferrailles diverses, de plastique et de bidoche.....


.... Et de fuel. :)

Car sans, on n'ira pas très loin. ;)

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Re: Impressions aériennes

Messagepar domi
22 Mar 2014, 10:37

EC64 a écrit:Merci Domi pour ces précisions et réponses à mes observations.


Mon plaisir. ;)

J'espère que tu nous feras un reportage sur ton voyage proprement dit. :)

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Re: Impressions aériennes

Messagepar EC64
22 Mar 2014, 12:08

3ème partie, le vol du retour

Comme à Paris, nous quittons l'appartement 3 heures avant de départ de l'avion.

La liaison par bus des transports publics de Montréal entre le centre ville et l'aéroport est assurée par une ligne dédiée, numérotée 747. N° facilement mémorisable, mais c'est un bus ordinaire, par un jumbo !

Notre vol est bien sur le tableau des départs

Les opérations de sécurité sont passées rapidement et sans difficultés, pas de contrôle des passeports ?
Nous nous dirigeons vers la porte d'embarquement, ici nous passons à coté et non dans les commerces Duty Free, une halte pour faire le plein de produits "sirop d'érables"....

L'avion est en préparation, même modèle qu'à l'aller, mais rien ne me permet d’identifier que c'est le même appareil.

Embarquement, dans la même pagaille qu'à l'aller, mais vu l'étroitesse des lieux.... (On observe parfois une situation semblable dans le TGV lyria pour Paris lorsque de nombreux passagers en correspondances arrivent en même temps)



Il fait déjà nuit lorsque nous partons, à l'heure,

Voyage de nuit, donc pas grand chose à voir à l'extérieur, les villes se devinent par les lumières des éclairages.

Repas, puis extinction des feux jusqu'au matin pour le petit déjeuner, très succinct (par rapport à Thalys, Lyria, mes références de comparaison)

Je suis le vol par les données de l'écran

Nous empruntons une route plus au nord qu'à l'aller, nous survolerons l'Ireland et le sud de la GB

Survol de la LGV Nord avant l'atterrissage à Roissy avec 25 minutes d'avance

Même pagaille qu'à l'aller pour sortir de l'avion, et même aspect de champs de bataille laissé par les passagers !!
Beaucoup de distances à parcourir pour rejoindre la gare RER, emprunt du VAL, passage des contrôles de police et de douane sans attente notable ....

Nous atteignons la gare RER, 45 minutes après l'arrivée, un escalier mécanique est en panne, puis sur le quai les panneaux indiquent une circulation perturbée, mais pas d'attente notable... ça énerve, mais tout va bien, on est de retour au pays !!

Conclusions :
Nos inquiétudes résidaient dans les formalités et l'orientation dans l'aéroport, mais tout a été simple et facile aussi bien à Roissy qu'à Montréal. La marge que nous avons pris était tout à fait correcte, finalement nous n'avons attendu que trois quarts d'heure dans la salle d'embarquement ce qui laissait une marge si les formalités de police et contrôles de sécurité avaient pris plus de temps.
Concernant le vol, aucune inquiétude, angoisse ou appréhension pour cette première, ni avant, ni pendant. Le bruit de fond permanent nous a surpris, bien plus bruyant que dans un train. Autre surprise, ça secoue pas mal, même hors zone de turbulence... finalement des sensations proches du trains.
Nous n'imaginions pas le travail du personnel de bord (hôtesses et steward), qui ne chôme pas.... Il est bien compréhensible qu'après un AR, il bénéficie de quelques jours de repos, d'autant plus que le décalage horaire fatigue. Même si on ne les voie pas, il doit en être de même pour les pilotes.
Mais ce qui nous a le plus frappé, c'est le comportement des voyageurs qui prennent stewards et hôtesses pour des domestiques, qui laissent leur place comme une porcherie... Les beauf ça existent, jeunes et vieux !!!

Expérience positive à refaire lorsque le voyage en train n'est pas possible.
____________________________________________________

Pour l'aspect "trains" vous allez être déçu, rien ou presque : un peu de métro, un tour dans la gare centrale dont les quai ne sont pas accessibles, quelques trains de fret vus depuis sur la route de l'aéroport (voir ici http://www.forum-train.fr/forum/posting.php?mode=edit&f=18&p=219988).
L'objectif du voyage était de rendre visite à notre fils ainé en poste à Montréal depuis novembre dernier. Nous sommes restés 6 jours pour ce premier voyage, nous y retournerons. Pour une prochaine fois, nous avons prévu un AR Montréal-Quebec en train.... à suivre donc
Modifié en dernier par EC64 le 22 Mar 2014, 19:36, modifié 1 fois.
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Re: Impressions aériennes

Messagepar Z 5300 Montrouge
22 Mar 2014, 14:02

Rapide 424 a écrit:J'ai du faire à peu près 70 à 80 vols transatlantiques dans ma vie (sans compter tous les autres), les premières sur Boeing 707, et je m'émerveille à chaque fois autant de la prouesse technologique qui consiste à faire décoller et atterrir à 300 km/h des centaines de tonnes de ferrailles diverses, de plastique et de bidoche. Et penser que ce miracle arrive plusieurs milliers de fois par jour à travers le monde ... On a beau s'y habituer, c'est toujours l'aventure. A l'atterrissage, j'ai toujours les mains moites, quand on rase les toits et qu'on se ballade et tangue pas toujours très en alignement avec la piste. Il doit y avoir une sacré tolérance dans la résistance des matériaux quand-même :)


Chanceux, les B-707, ça devait être bien :ange2:

Il reste des MD-11 KLM jusqu'au 25 novembre et les 747-428 AF viennent d'être remplacé sur YUL par des A380.
Les trains: BB 17000, CC 72000, BB 67400, Z 5300, BB 8500, EAD, X 2700, X 2800
Les avions: B-727, L-1011, BAC-1-11, MD-11, DC-8, TU-154, C-5, B-747, A-340, B-737-200

Vive les Oldies!!!!
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