M'sieu-Dames......
Discuter en direct live, permet comme le we passé à Ozoir de découvrir plein de choses sur les futures productions REE, et ce grâce à la disponibilité du sieur Chapelle qui n'est pas avare de confidences.
J'ai ainsi pu admirer sur son ordi portable les modèles de cadres qu'il s’apprête à sortir. En époque 3 comme il se doit et avec de nouvelles raison sociale d'entreprise, comme des caisses de déménageur.
Ces cadres sont différents de ceux déjà sortis ailleurs, comme les aérosudest, avec de mémoire 3 tailles différentes.
Si cette info était passée sur les supports numériques en vogue, nous aurions eu a minima plusieurs pages de
ou bien de
. Au passage seraient apparus des documents d'époque, photos ou scans de plans toujours appréciables postés par des personnes passionnées. par contre la cohorte de guignols détenteurs de la vraie, la seule vérité ferroviaire auraient sévi gravement, comme à chaque fois de toute manière.Vous vous rendez compte, il manque 1/10e sur l'arrondi du toit, c'est absolument rédhibitoire
Alors oui, le numérique c'est bien, même très bien et permet de s'affranchir des contraintes de temps et de distance, mais hélas ne protège pas des interventions de certains nuisibles qui contribuent à l'installation d'un climat malsain sur certains fils. L'anonymat virtuel favorisant l'éclosion de gogols patentés, de pseudos conseiller techniques qui se font un plaisir de descendre telle ou telle production.
Maintenant beaucoup de personnes inscrites sur FT sont nées bien avant l'avènement du numérique et de la béatitude plus qu'envahissante des réseaux sociaux. On peut se demander comment ils ont pu survivre jusqu'ici??
Ben il y avait les catalogues, les expos locales et les revues, le téléphone et les échanges entre amis, bien souvent autour d'un verre ou d'un bon repas. La vraie vie quoi!!
A+
Baldwin-Chester: chargé de communication rapide.
Grand Maitre de l'ordre du Pousse Mégot
« La psychanalyse est un remède contre l'ignorance. Elle est sans effet sur la connerie. »
J Lacan.
P.O.C un jour, P.O.C toujours...